Des Ethnologues Féminines Au Pays Des Hommes Nus Chapitre 2 : Les Bonniches
Elles font les sales boulots que les gens ne veulent pas faire chez eux
Parfois même, les hommes de ces maisons les importunent
Le refus de labus passe par leur propre abus
leçon de self-défense
épicée de quelques exemples
Parmi la diversité des témoignages reçus, les femmes de ménages ne sont pas les moins nombreuses. Quelles se dénomment elles-mêmes comme cela, quelles se nomment bonnes ou bonniches, femmes douvrage ou femmes à tout faire, voire techniciennes de surface, nombreuses sont celles qui ont réagi à mes petites histoires. Parfois après avoir lu delles-mêmes ce que javais écrit, parfois en étant interpellées par des amies ou collègues qui les ont incitées à témoigner. Il y en eut aussi certaines qui témoignèrent pour dautres.
Ce qui ressort de ces témoignages, cest le sentiment évident dun manque de respect de la part dhommes envers ces dames qui accomplissaient les tâches ménagères chez eux. Ce qui fit dire à Ludivine, lune dentre elles :
- les hommes sont tous de gros dégueulasses, même si certains osent plus que dautres. Mais dans la tête de chacun, ce sont les mêmes fantasmes libidineux
Je laisserai à la charmante Ludivine la responsabilité de ses paroles, mais il faut bien avouer que les informations reçues pourraient donner des frissons dans le dos, et pas particulièrement des frissons de plaisir
Mais il ne sagit pas ici dun site de militantes féministes, ni dun site de dénonciations des maltraitances faites aux femmes, je me contenterai donc essentiellement de me centrer sur des histoires plus rigolotes, celles finalement où les femmes ont pris le dessus
Passons quand même quelques secondes sur les attitudes de ces hommes, qui, toujours daprès Ludivine, considèrent que toute femme qui passe la porte de leur maison ou de leur appartement devient en quelque sorte leur propriété
Certains ont eu des attitudes proches du viol, dautres se sont contenté de mains baladeuses, les derniers se sont adonnés au plaisir de lexhibitionnisme.
En effet, face à des attitudes déplacées, les bonniches ont du répondant. Mais avant de tenter ici une classification des réponses que certaines ont pu apporter à ces mâles en rut, parlons encore un instant de ces hommes. Si certains ont eu des actes assez violents, dautres ont été plus timides. Si certains ont eu les mains baladeuses, cela a été des frôlements pour les uns, des pelotages en règles pour dautres. Si certains se sont exhibés, ce fut parfois derrière une porte quasi fermée, mais cependant suffisamment ouverte que pour faire apercevoir leurs fesses ou leur queue, parfois des expositions totales sans aucune pudeur, parfois avec lambition de faire considérer cette exhibition comme naturelle, parfois dassumer lobscénité de celle-ci.
Face à ce quelles considèrent comme des agressions avec violences physiques, celles qui ont osé se défendre nont pas cherché midi à 14 heures. Françoise a mis en uvre ses cours de Karaté (quel con celui-là, sattaquer à une ceinture marron de Karaté !), Lola, Patricia ou Anne ont, elles utilisé la traditionnelle petite bombe lacrymogène (ou son succédané, il paraît que le déo fonctionne pas mal pour se défendre !). Fabiola elle se sent un peu responsable davoir provoqué le strip-tease
Mais elle a finalement gardé la main sur la situation
Racontons cela un peu plus en détail
Françoise avait à faire à un gros bonhomme qui se baladait à poil pendant quelle faisait le ménage
et qui prenait de lassurance au fur et à mesure que le temps passait
À poil, il avait rapidement osé faire le pas
il avait dabord feint le naturel, puis sétait laissé aller à des gestes et attitudes plus obscènes.
Mais ce jour là, quand il lavait approchée, la bite en érection, pour tenter de lui peloter les seins, elle avait vu rouge et sétait réellement défendue. En moins de temps quil ne faut pour le dire. Lhomme sétait retrouvé les quatre fers en lair, les coucougnettes emprisonnées dans une main ferme.
- Tas fini tes cochonneries, gros dégueulasse. Jsuis pas ton objet connard, jsuis un être humain. Tu me dois le respect. Dis-le moi que tu vas me respecter !
Pas de réponse du gros lard, un peu ahuri
- Tu veux que je te les arrache ? Dis-moi que tu vas me respecter mon salaud ! Allez dis-le.
Et pour linciter à plus de participation, elle serra plus fermement ce quelle tenait en main.
- Bon daccord, jmexcuse, grommela le bonhomme.
- Ça ne me suffit pas. Je veux que tu dises que tu me respectes et que tu vas me respecter !
- pffff
Une dose de pression supplémentaire
- Aïe, mais tu me fais mal
salope
Bon, ok, tas gagné
Je vais te respecter ! Je te promets.
Françoise aurait dû prendre davantage de précautions car après être allé se rhabiller, lhomme lui intima lordre de partir, ce quelle fit sans demander son reste
Travailler dans de telles conditions nétait plus un plaisir
Mais elle avait quand même perdu plusieurs heures de travail dans laventure, et il lui fallait retrouver du boulot pour compenser la perte de ce licenciement
Elle aurait dû avoir une stratégie avec le bonhomme pour mieux négocier son départ
Patricia et Anne avaient partagé les mêmes regrets.
Lola elle, avait eu une attitude plus stratégique. Tellement stratégique et tellement amusante (rétrospectivement sentend) que jai envie de faire durer le suspens. Je raconterai son histoire plus tard (au chapitre 5 !)
Face à des exhibitionnistes assumés ou non, plusieurs femmes ont eu des conduites assez similaires, décidant de ne pas rester objet de lexhibition des mecs, mais den devenir les actrices principales. Puisque les hommes exhibaient leur intimité, elles ont chacune décidé denvahir cette intimité, leur laissant le moins despaces, de lieux ou de moments où ils pouvaient se retrouver seuls.
Racontons à titre dexemples, les histoires de Fabiola ou Sophie
Fabiola sétait beaucoup amusée des exhibitions furtives et mal assumées de Patrick, son lourdaud de boss. Elle lapercevait au détour dune porte avec un petit slip. Elle se rendait bien compte quil cherchait son regard, mais dès quelle apparaissait, lui disparaissait. Ça avait duré quelques semaines. Puis le slip était parti, mais les apparitions restaient très courtes. Face à cette timidité, Fabiola avait donc décidé de prendre les choses en main.
Patrick roulait parfois en vélo dans les bois
Et rentrait dégueulasse. Il avait dailleurs déjà salopé tout le travail que Fabiola venait pourtant de terminer. Quand un jour, elle entendit la porte du garage grincer, le bruit annonciateur du retour du cycliste, elle descendit pour le surveiller. Il semblait se demander ce qui se passait, mais il comprit quand Fabiola lempêcha de passer.
- Ah non ! Vous naller pas encore salir le sol que je viens de nettoyer. Vous vous déshabillez ici et vous grimpez ensuite à la salle de bain
Et Patrick de rougir, puis dobéir tout penaud. Même le slip était boueux. Et Fabiola osa :
- Votre slip est dégueu aussi, allez hop !
Patrick hésita. Fabiola aussi. Puis elle sentendit dire un deuxième « allez, hop ! » qui le décida. Puis, sitôt dénudé il fila sans demander son reste, passant devant le sourire qui marquait le visage de Fabiola.
Depuis cette petite altercation sympathique, chaque fois que Fabiola venait nettoyer la maison de Patrick, ce dernier filait faire sa balade. Et rentrait. Parfois crotté, parfois pas
Mais même non crotté, il avait décidé dobéir scrupuleusement aux ordres de Fabiola
Et il se pavanait maintenant à poil dans la maison
Fabiola savait que Patrick nétait pas un homme dangereux
Il était simplement heureux de se promener tout nu devant elle
Mais ça la dérangeait quand même dêtre lobjet de son exhibitionnisme
Une espèce de témoin passif qui devait voir parce quil lavait décidé
Elle choisit donc de participer
En complimentant (rarement), ou en se moquant gentiment (plus souvent)
Les compliments cétait plutôt pendant la période dété qui rend les cyclistes nus si ridicules
blancs sous le short, le maillot et les chaussettes, bronzé aux bras, aux cuisses, aux mollets et sur le visage
Ses compliments qui admiraient ce bronzage étaient donc aussi un peu moqueurs, mais Patrick les prenait davantage comme compliments
Elle se moquait plus ouvertement de sa quéquette, et de sa supposée petite taille
Cest vrai que coincée dans le short cycliste, elle nétait pas bien vaillante quand il la déballait, mais elle retrouvait vite une taille « normale » (Mais que veut donc dire normale pour la taille dune bite ?). Ce qui nempêchait pas Fabiola ne la trouver trop riquiqui à son goût
Et de le faire remarquer
Patrick ne sen formalisait pas, trop heureux quelle lui parle de son petit oiseau quil exposait avec plaisir
Il lexposait parfois avec tellement de plaisir que cela se remarquait par ses frétillements
Elle éclatait de rire et avec son doigt, montrait le geste de lérection, passant du doigt flasque et pendant à un doigt vigoureusement dressé
Puis elle quittait la pièce en riant
Aujourdhui encore, la situation des deux comparses semble leur convenir
Monsieur Carlier avait trouvé un stratagème pour que Sophie entre dans la salle de bain quand il était sous la douche. Il téléphonait lui-même avec son GSM sur sa ligne privée, et contrefaisait sa voix quand Sophie décrochait. Sophie avait expliqué que Monsieur nétait pas disponible pour le moment, et avait pris le numéro de téléphone du correspondant. Quand Monsieur Carlier était sorti de la douche, elle lui avait transmis le numéro, mais il sétait énervé disant que cétait un appel important et quelle aurait dû le lui passer.
- La prochaine fois, vous mamenez le téléphone
Il y a des opportunités qui ne passent pas deux fois
Cest important pour moi !
La semaine suivante, alors quil était sous la douche, le téléphone avait à nouveau sonné. Il avait semblé à Sophie reconnaître la même personne. Elle avait donc été jusquà la salle de bain, avait entrouvert la porte et déposé le téléphone sur le meuble qui se trouvait à lentrée. Monsieur Carlier lui avait gueulé de lui donner le combiné, et elle sétait résignée à entrer, ne sachant où poser les yeux.
Même scénario la semaine suivante, puis la semaine daprès
cela commençait à bien faire. Tout cela lui semblait bizarre et elle sentait de plus en plus le coup monté. Elle en était convaincue maintenant. Elle avait décidé de ne pas se laisser faire. Et la semaine suivante, prétextant la nécessité de prendre un produit dans la salle de bain, elle entra résolument dans la pièce pendant que lhomme sy trouvait. Il était nu et se tripotait la nouille à qui mieux mieux
elle fit celle qui ne voyait rien, attrapa la bouteille recherchée et sorti avec un grand sourire qui se transforma en éclat de rire étouffé dès quelle eu refermé la porte
Yessssss ! Cétait elle la patronne maintenant ! Une chose lasticota cependant
Elle en était maintenant tout à fait certaine depuis quelle avait vu le GSM de lhomme dans la salle de bain. Elle avait compris que cétait lui qui lappelait et cela pour lui montrer son zigouigoui
Mais elle lavait ainsi décidé
Cétait elle la patronne ! Et ce fut comme ça les semaines suivantes. Jusquau jour où il se décida à fermer la porte à clé. Sophie resta dans le couloir ce jour-là
Mais elle avait trouvé du plaisir à humilier celui qui lavait dabord utilisée comme objet sexuel. Et elle confisqua la clé. Et Monsieur Carlier nosa pas la réclamer. Pourtant il devait être sûr que cétait elle, la voleuse. Si Monsieur Carlier allait dans la salle de bain, elle attendait quelques minutes et le rejoignait sous un prétexte futile ou lautre. Plus le temps passait, plus elle sattardait. Elle se permettait même dentamer la conversation, laissant Monsieur Carlier désemparé. Parce que si, auparavant il maîtrisait la situation, ce nétait plus le cas maintenant. Quand il avait élaboré son stratagème, il se paluchait à lavance pour éviter lérection quand Sophie faisait irruption
Mais comme il ne savait plus maintenant quand elle allait apparaître, ni si elle allait débarquer, il ne se préparait plus de la même façon. Et quand Sophie entamait la conversation, elle assistait régulièrement à des levées de bite que Monsieur Carlier aurait préféré de toute évidence éviter
Elle poussa même le vice jusquà rester un jour une demi heure dans la salle de bain, amenant Monsieur Carlier à rester sous la douche parce quil nosait sortir pour dévoiler son piquet, qui par ailleurs nétait que faiblement voilé derrière un rideau de douche.
Nathalie.
Jean avait demandé à Nathalie de venir deux fois par semaine pendant les vacances dété. Il voulait un tout grand nettoyage et avait estimé que Nathalie devait doubler son temps de travail pour tout réaliser. Nathalie ne sétait pas plainte, dautant plus que pendant les vacances, dautres parmi ses clients prenaient leurs congés ce qui diminuait ses rentrées financières. Jean entendait cependant profiter de longues vacances et il lavait clairement annoncé à Nathalie. Lui ne travaillerait pas beaucoup.
Lété avait été chaud cette année là
Et Jean avait décidé de sétendre sur un transat dès que Nathalie arrivait. Même si, vu lheure matinale, le soleil ne chauffait pas encore beaucoup quand il sinstallait. Et ce fut un strip-tease étalé dans le temps. Qui amusa Nathalie qui trouvait son patron assez ridicule. Le premier jeudi de juillet, cétait short, T-shirt et chaussettes dans des espadrilles (un peu ridicule quoi !) le mardi suivant, il avait ôté et chaussettes et espadrilles (ouf !). Puis ce fut le T-shirt qui disparut
Tout cela restait, ma foi, fort décent
La semaine suivante, le short laissa la place à un boxer, puis ce fut le slip, puis un string
Et la semaine suivante, un autre string ! Et pendant ce temps, Nathalie riait sous cape. Elle saisissait bien que ce grand mec réalisait un fantasme, et ça lamusait
en même temps que ça la dérangeait. En effet, Jean assouvissait son fantasme en lutilisant et sans lui avoir demandé son avis
Il est vrai que sil avait demandé cet avis, le fantasme aurait sans doute été moins excitant, mais il nen restait pas moins que malgré que ça lamusait, elle était dans le même temps considérée comme cette chose qui ne comptait pas
Elle aussi avait décidé de prendre les choses en main. À la vue de ce second string, elle décida dagir
Elle sapprocha de Jean :
- Dis mon vieux
,
Elle le vouvoyait habituellement, mais la situation et le rôle quelle entendait maintenant jouer lamenait à changer dattitude.
- Dis mon vieux
Ten a pas fini avec ton cinéma ? Mais vas-y montre le moi ton zizi, on va pas encore attendre des semaines non ?
- Mais
, avait bêlé ledit vieux.
- Quest-ce qui vous prend Nathalie ?
- Il me prend que jen ai marre de votre petit stratagème, de votre cinéma, et que maintenant, il est temps dinscrire « THE END » à la fin de lhistoire. Alors tu vas te lever gentiment, et tu vas enlever ce string ridicule, comme ça ten auras fini avec ton fantasme qui naboutit pas
- Mais
- Il ny a pas de « mais », tu lèves ton cul, et tu te fous à poil.
Jean sembla résigné et se leva
sans pour autant faire glisser son string.
- Allez mon coco
ou tu veux que je taide ?
Et Nathalie se saisit du bout de tissu, ce qui provoqua un mouvement de recul de lhomme. Mais Nathalie ne lâcha pas
Elle tira un bon coup supplémentaire et arracha le mini vêtement.
- Voilà qui est mieux
Tes content non ? Cest ça que tu voulais ? Allez recouche-toi, et fait bien profiter ton truc du soleil
Moi, je retourne travailler
Cest pour ça que tu me paies non ?
Et Jean de se recoucher, vaincu, sur son transat, la bite à lair, pendant que Nathalie se remettait à la tâche et nettoyait les volets, se désintéressant complètement de Jean. Ce nest quau moment de partir quelle lui indiqua la suite de lhistoire : une interdiction évidente dêtre vêtu dun quelconque vêtement pour la semaine suivante.
Cest dans cette tenue ou plutôt cette « non-tenue » que Jean la reçu donc, et dans un état dexcitation qui décontenança quelques secondes Nathalie
Mais Jean resta placide et elle fut rapidement rassurée, elle ne courait pas de danger
Elle envoya Jean sur son transat et ne soccupa à nouveau plus de lui. Jusquà lheure quelle décréta être son heure de pause. Elle retrouva lhomme qui, voyant Nathalie approcher, permit à sa nouille de se transformer à nouveau en cannelloni.
- Cest ma pause
tu vas me laisse la place
Je vais me reposer un peu, tu peux aller me chercher un bon jus de fruits bien frais.
Jean hésita une seconde puis obtempéra
Il revint avec le verre quil tendit à Nathalie.
- Ok, maintenant, tu vas un peu marcher que je te regarde
Ouiiiii, tourne sur toi-même maintenant
saute
allez, vas-y saute que je mamuse à regarder ton braquemard voltiger
Voilàààà
maintenant, la même chose, mais avec ton zizi tout mou
Comment ça, tu crois que ce nest pas possible ? Mais si, cest possible
Allez
Tu as 5 minutes pour marranger ça
Allez
Vas-y !
Et Jean séclipsa laissant Sophie siroter son jus.
- Le temps est écoulé !
Et Jean de réapparaître, la queue entre les jambes
- Et bien tu vois que cétait possible
Comment tas fait ça ?
-
- Jentends pas ! Raconte à Tata Nathalie comment tas fait pour avoir un petit zizi tout mou
Non ? Allez sale gamin
Raconte !
- Et Jean de murmurer : Je me suis masturbé
- Tu quoi
? cria Nathalie
plus fort
je nentends rien.
Jean séclaircit la voix et annonça dune voix plus forte : Je me suis masturbé
- Ah, ça tu tes masturbé
Comment tas fait ? Tu me raconteras ça tout à lheure ! Allez, maintenant, saute encore ! Et fait moi voltiger ce petit zizi tout mou ! Ah oui ! Cest pas la même chose hein ! Va me chercher un autre verre, puis je te laisse la place et je retourne travailler !
Et cest ainsi que les choses se remettent en place
quelques minutes
13 heures approchait. Lheure à laquelle Nathalie terminait son travail. Elle retourna Vers Jean qui lattendait tout penaud, nu sur son transat
- Comme ça, tu tes masturbé tout à lheure pour avoir un petit zizi
Ce quon mavait raconté à moi, cest que cétait pour avoir un gros zizi que les garçons se masturbaient
Cest pas vrai ça
-
- Cest pas vrai ça ?
- Si, si, cest vrai aussi
- Ah ! Explique-moi un peu
-
- Tu sais pas expliquer ? Mais tu peux me montrer peut-être ? Allez, montre-moi comment tu fais pour attr un gros zizi !
Et, après quelques secondes dhésitation, Jean sexécuta
sous le regard amusé de Nathalie. La branlette dura quelques minutes sans que Jean narrive à aboutir
La jeune femme arrêta le supplice
- Bon, arrête gros zizi ! On va en rester là pour aujourdhui
pour aujourdhui, jai dit ! Mais je te le dis sérieusement
à partir de maintenant, cest moi, et moi seule qui décide quand tu te déshabilles. Et tu es dorénavant prié dêtre décent quand je viens chez toi !
Les semaines suivantes, Jean accueillit donc Nathalie bien habillé. Nathalie lautorisa rapidement à adopter le short ou le maillot pour ses bains de soleil. Il ny avait pas de raison quil ne profita pas de ses jours de congé pour bénéficier de ce soleil qui décidément avait décidé cette année de faire des heures supplémentaires. Une fois, elle le trouva avec le maillot à la mode du plombier, cette mode qui consiste à montrer le début de ses fesses. La sanction fut immédiate : fessée tout nu, et obligation de rester ensuite debout contre le mur, les fesses rouges (mais elle navait pas frappé si fort !) bien exposées. Et la semaine suivante, lobligation de bronzer nu, en présence dune copine de Nathalie
qui semblait plus confuse encore que Jean. Nathalie ne déshabilla plus Jean que pour cette raison là : le montrer nu de temps en temps à ses copines.
Elle était satisfaite. Elle avait refusé dêtre lobjet de Jean et avait choisi dêtre la maîtresse du jeu
Et elle se disait
- Je suis sûre que ce mec lui aussi apprécie que ça se passe comme ça
mais cest moi qui décide !
Quand elle ma envoyé un mail qui racontait succinctement cette histoire, Nathalie mavait expliqué quelle avait retrouvé dans mes récits ces trois choses : le refus dêtre lobjet sexuel des fantasmes dun homme, la fierté davoir pu réagir et dasseoir sa position de patronne du jeu, mais aussi davoir organisé ce jeu de telle façon que finalement, le mec y trouve aussi son compte
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